L'AAIC® 2018 présente le premier essai clinique qui montre qu'un traitement intensif de la pression artérielle réduit les nouveaux cas de troubles légers de la cognition et de démence (critère d'évaluation combiné)
LA CONFÉRENCE A ÉGALEMENT PRÉSENTÉ LES TOUTES PREMIÈRES DONNÉES RELATIVES À LA DÉMENCE CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES LGB ET AU RISQUE DE DÉMENCE LIÉ À L'HISTORIQUE DE REPRODUCTION CHEZ LES FEMMES
CHICAGO, 27 juillet 2018 /PRNewswire/ -- Le premier essai clinique randomisé, qui a démontré que le traitement intensif de la pression artérielle réduit les nouveaux cas de troubles légers de la cognition (TLC) et le risque combiné de TLC et de démence toutes causes confondues, a été le fait marquant des nouveaux résultats de recherche présentés lors de l'Alzheimer's Association International Conference (AAIC) 2018 à Chicago.
Les résultats préliminaires de l'essai SPRINT MIND, présentés lors de l'AAIC 2018, apportent la preuve la plus solide à ce jour de la réduction du risque de TLC et de démence grâce au traitement de la pression artérielle élevée, qui constitue l'une des principales causes de maladies cardiovasculaires dans le monde.
L'AAIC 2018 a également présenté des données supplémentaires issues d'un essai de phase 2 du BAN2401 (Eisai, Biogen) qui ont rapporté, le 5 juillet, des résultats positifs de grande qualité couvrant une période de 18 mois, et qui suggèrent un ralentissement du déclin clinique et la réduction des bêta-amyloïdes dans le cerveau.
L'AAIC 2018 a également présenté plusieurs « premières », et notamment la toute première étude évaluant la prévalence de la démence dans une large population de personnes âgées lesbiennes, gay et bisexuelles (LGB), ainsi qu'une étude à grande échelle de l'historique de reproduction et du risque de démence chez les femmes.
« Les données passionnantes provenant d'études de recherche innovantes rapportées lors de l'AAIC 2018 nous donnent de nombreuses raisons d'espérer », a déclaré, Maria C. Carrillo, PhD, directrice scientifique de l'Alzheimer's Association. « Par exemple, la réduction des nouveaux cas de TLC constatée dans l'étude SPRINT MIND ajoute de la crédibilité à la vision d'une thérapie future de la maladie d'Alzheimer qui associerait des médicaments et des interventions modifiables sur les facteurs de risque, comme nous le faisons actuellement avec les maladies cardiovasculaires. »
« Nous saluons les conceptions innovantes des essais cliniques et les cibles thérapeutiques, ainsi que les nouvelles méthodes d'administration des thérapies et de lutte contre la maladie, comme nous l'avons entendu lors des présentations à l'AAIC », a déclaré Mme Carrillo. « Il y a longtemps qu'une nouvelle thérapie n'a pas été approuvée. Nous avons besoin de mesures audacieuses, de la science fondamentale aux essais cliniques, afin d'offrir de meilleurs traitements et stratégies de prévention aux millions de personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer et d'autres démences, ainsi qu'aux millions d'autres présentant un risque. »
« L'Alzheimer's Association considère également vivement les résultats reportés lors de l'AAIC issus de populations importantes de patients, et notamment des femmes, des personnes LGB et des centenaires. La compréhension de l'impact de la maladie d'Alzheimer et d'autres démences chez les personnes vivant avec la maladie et chez les soignants de divers horizons est essentielle pour mieux traiter et prévenir la maladie d'Alzheimer, ainsi que pour soutenir et soigner correctement les personnes qui vivent avec aujourd'hui », a ajouté Mme Carrillo.
L'AAIC est le forum annuel de premier plan où l'on présente et discute des recherches les plus récentes sur la maladie d'Alzheimer et d'autres démences. Permettant au monde d'être plus près des découvertes capitales qui ont lieu dans le domaine de la science sur la démence, l'AAIC 2018 a rassemblé plus de 5100 experts et chercheurs importants du monde entier et a présenté plus de 2500 exposés scientifiques.
De nouveaux résultats d'un essai clinique sur la maladie d'Alzheimer et la démence apportent de l'espoir : l'essai SPRINT MIND
Lors de l'AAIC 2018, des chercheurs ont rapporté des résultats préliminaires liés aux risques de démence et de déclin cognitif provenant de l'essai Systolic Blood Pressure Intervention Trial (SPRINT - Essai sur l'intervention en matière de pression artérielle systolique). SPRINT est un essai clinique randomisé qui compare deux stratégies pour la gestion de la pression artérielle élevée (hypertension) chez les personnes âgées : une stratégie intensive avec un objectif de pression artérielle systolique inférieure à 120 mm Hg par rapport une stratégie de soins standards ciblant une pression artérielle systolique inférieure à 140 mm Hg.
L'essai SPRINT Memory and Cognition IN Decreased Hypertension (SPRINT MIND - Mémoire et cognition dans la baisse de l'hypertension) a examiné si le traitement visant à atteindre la pression artérielle la plus faible réduit le risque de démence et/ou de TLC. Les 9361 participants à l'étude étaient des personnes âgées hypertendues présentant un risque cardiovasculaire accru, mais sans diabète, démence ou accident vasculaire cérébral diagnostiqués. La moyenne d'âge des participants était de 67,9 ans (35,6 pour cent étant des femmes) et 8626 d'entre eux ont réalisé au moins une évaluation cognitive de suivi.
Dans l'essai SPRINT MIND, les chercheurs ont trouvé une baisse statistiquement significative de 19 pour cent du taux de nouveaux cas de TLC dans le groupe de traitement intensif de la pression artérielle. Les résultats combinés de TLC et de démence probable toutes causes confondues étaient 15 pour cent inférieurs dans le groupe de traitement intensif par rapport au groupe de traitement standard.
« Cette étude montre de façon plus probante que jamais qu'il y a des choses que vous pouvez faire, en particulier en ce qui concerne les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires, pour réduire votre risque de TLC et de démence », a déclaré Mme Carillo.
Lien entre grossesse, historique de reproduction et risque de démence chez les femmes
Près de deux tiers des Américains atteints de la maladie d'Alzheimer sont des femmes selon le rapport 2018 Alzheimer's Disease Facts and Figures (Faits et chiffres concernant la maladie d'Alzheimer) de l'Alzheimer's Association. Le rapport indique également que, sur les 5,5 millions de personnes de 65 ans ou plus atteintes de la maladie d'Alzheimer aux États-Unis, 3,4 millions sont des femmes et 2 millions sont des hommes.
La recherche présentée lors de l'AAIC 2018 a enquêté sur l'historique de reproduction des femmes tout au long de leur vie et sa relation avec le risque de maladie d'Alzheimer et d'autre démence, incluant la toute première étude à grande échelle (n = 14 595) dans ce domaine. Les chercheurs ont montré que :
- Les femmes de l'étude avec trois enfants ou plus présentaient un risque de démence 12 pour cent moins élevé que celui des femmes avec un enfant.
- Chaque déclaration supplémentaire de fausse couche a été associée à un risque de démence 9 pour cent plus élevé que celui des femmes n'ayant pas signalé de fausse couche.
- Les femmes qui ont indiqué avoir eu leur premier cycle menstruel à l'âge de 16 ans ou plus présentaient un risque 31 pour cent plus élevé que celui des femmes qui ont déclaré avoir eu leur premier cycle à l'âge de 13 ans ou moins.
- Comparativement aux femmes qui ont connu une ménopause naturelle après l'âge de 45 ans, celles ayant eu une ménopause naturelle à 45 ans ou moins présentaient un risque de démence de 28 pour cent plus élevé.
Une étude distincte présentée à l'occasion de l'AAIC 2018, incluant 133 femmes âgées au Royaume-Uni, a révélé que le nombre total de mois de grossesse d'une femme, en particulier les mois passés au cours du premier trimestre, était un indicateur important du risque de développer la maladie d'Alzheimer. Les chercheurs ont rapporté que, dans la population de cette étude, une femme ayant passé 12,5 pour cent de mois en plus enceinte qu'une femme par ailleurs identique présentait environ 20 pour cent de risque en moins de développer la maladie d'Alzheimer.
Premières données sur la prévalence de la démence chez les personnes âgées LGB
Les premières données sur la prévalence de la démence issues d'une large population de personnes âgées lesbiennes, gay et bisexuelles ont été présentées lors de l'AAIC 2018 à Chicago. Les chercheurs ont examiné la prévalence de la démence parmi 3718 adultes LGB de plus de 60 ans qui ont participé au programme Kaiser Permanente Research Program on Genes, Environment, and Health (RPGEH - Programme de recherche permanente Kaiser sur les gènes, l'environnement et la santé).
Pendant les neuf années de suivi, la prévalence de la démence était de 8 pour cent dans la population de cette étude. À titre de comparaison, le rapport 2018 Alzheimer's Disease Facts and Figures de l'Alzheimer's Association indique une prévalence de la maladie d'Alzheimer et d'autres démences aux États-Unis chez les personnes de plus de 65 ans d'environ 10 pour cent. D'après les chercheurs, des taux significatifs de dépression, d'hypertension, d'accident vasculaire cérébral et de maladie cardiovasculaire dans la population à l'étude pourraient être des facteurs contributifs du niveau de démence.
- Les personnes âgées LGB de l'étude atteintes de dépression étaient 2,3 fois plus susceptibles de développer une démence.
- Les personnes de l'étude souffrant de maladies cardiaques étaient 69 pour cent plus susceptibles de développer une démence.
- Les personnes de l'étude souffrant d'hypertension étaient 56 pour cent plus susceptibles de développer une démence.
Des estimations actuelles suggèrent que plus de 200 000 minorités sexuelles aux États-Unis sont atteintes de démence, mais avant cette étude, nous ne connaissions presque rien sur la prévalence de la démence chez les personnes de ces groupes ne souffrant pas de démence liée au VIH/sida. De futures études visant à mieux comprendre les facteurs de risque de la maladie d'Alzheimer et d'autres démences dans la population des personnes âgées LGB+ sont grandement nécessaires.
Les résultats soulignent la nécessité de soins de santé et de pratiques adaptés aux différences culturelles destinés aux personnes âgées LGB+ présentant un risque de développer la maladie d'Alzheimer ou d'autres démences, ou souffrant déjà de l'une de ces maladies. Compte tenu des préoccupations concernant l'isolement social et, parfois, l'accès limité à des aidants amicaux et familiaux, il est véritablement nécessaire de créer un environnement de soins de soutien et des ressources de prestation de soins.
Succès préliminaires et difficultés constantes dans le traitement des symptômes non cognitifs de la démence
Bien que les symptômes les plus connus associés à la maladie d'Alzheimer concernent la mémoire et la pensée, ce sont les symptômes comportementaux et psychologiques de la démence (agitation, anxiété, apathie, dépression, errance, insomnie, incontinence, désinhibition) qui causent souvent les plus grands défis en matière de soins et qui sont les principales causes de placement dans une résidence assistée ou un centre d'hébergement et de soins de longue durée. Non traités, ces symptômes peuvent accélérer le déclin et réduire la qualité de vie.
À l'heure actuelle, la Food and Drug Administration des États-Unis n'a approuvé aucun traitement médicamenteux pour ces symptômes chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'Alzheimer's Association recommande des approches non médicamenteuses comme première alternative à la pharmacothérapie pour le traitement des comportements liés à la démence. Ces thérapies comprennent la thérapie par empathie, la réminiscence et d'autres interventions psychosociales personnalisées.
Un essai clinique randomisé à double insu portant sur le nabilone (un cannabinoïde synthétique) présenté lors de l'AAIC 2018 suggère qu'il pourrait être efficace dans le traitement de l'agitation chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer modérée à grave. L'agitation, y compris les crises verbales ou physiques, la détresse émotionnelle, l'instabilité psychomotrice et la déambulation, est l'un des changements de comportement les plus courants associés à la maladie d'Alzheimer et peut être une cause importante de stress chez les soignants. Au cours de l'essai de 14 semaines, 39 participants (77 pour cent d'hommes, âge moyen de 87 ans) ont reçu du nabilone sous forme de gélules pendant six semaines, suivies de six semaines de placebo, avec une semaine entre chaque période de traitement. L'agitation s'est améliorée de façon significative chez ceux prenant du nabilone, comparativement au placebo. Un nombre plus important de personnes participant à l'étude ont présenté une sédation au nabilone (45 pour cent) comparativement au placebo (16 pour cent).
Remarque : la marijuana n'est pas approuvée par la FDA pour le traitement ou la gestion de la maladie d'Alzheimer ou d'autres démences. Il n'existe actuellement aucune donnée d'essais cliniques solide et cohérente qui étaye l'utilisation de la marijuana pour le traitement de la maladie d'Alzheimer, ni pour les problèmes connexes. L'Alzheimer's Association considère que des recherches plus approfondies dans ce domaine sont nécessaires.
Dans deux autres études rapportées lors de l'AAIC 2018 :
- Une petite étude concernant une intervention personnalisée sur l'éclairage, étudiée chez 43 personnes dans 10 centres d'hébergement et de soins de longue durée, a révélé que les participants à l'étude ont connu une diminution significative des troubles du sommeil, de la dépression et de l'agitation.
- Les « médicaments Z », comme le zolpidem, la zopiclone et la zaleplon, souvent prescrits pour aider à traiter l'insomnie chez les personnes âgées, sont associés à un risque accru de fracture de 40 pour cent lorsqu'ils sont utilisés par des personnes âgées atteintes de démence, le risque étant plus important chez les personnes recevant des doses plus élevées. L'utilisation des médicaments Z est également associée à un risque plus important de fracture de la hanche et de décès. Les données proviennent de l'analyse du Clinical Practice Research Datalink au Royaume-Uni et de trois études cliniques auprès de personnes atteintes de démence.
Il est nécessaire de trouver de meilleures alternatives aux médicaments actuellement prescrits pour les troubles du sommeil et les autres symptômes non cognitifs de la démence.
Nouvelles orientations pour le diagnostic clinique de la maladie d'Alzheimer et d'autres démences
Malgré plus de deux décennies de progrès en matière de critères diagnostiques et de technologie, les symptômes de la maladie d'Alzheimer et d'autres démences passent trop souvent inaperçus ou sont mal attribués, ce qui entraîne des retards dans les diagnostics et les soins appropriés qui sont à la fois pernicieux et coûteux. Il n'y a, à l'heure actuelle, aucune recommandation de diagnostic consensuelle destinée aux médecins traitants.
Comme signalé lors de l'AAIC 2018, un groupe de travail convoqué par l'Alzheimer's Association a élaboré 20 recommandations à l'intention des médecins et du personnel infirmier spécialisé, et les affine avec l'apport de leaders dans ce domaine avec pour objectif de les publier ultérieurement cette année. Les recommandations vont de l'amélioration des efforts pour reconnaître les symptômes à la compassion dans la communication avec les personnes et leurs soignants. Elles incluent :
- Toutes les personnes qui déclarent d'elles-mêmes, ou dont le partenaire de soins ou le clinicien signale, des changements cognitifs, comportementaux ou fonctionnels devraient faire l'objet d'une évaluation.
- Les préoccupations ne devraient pas être écartées sous le motif du « vieillissement normal » sans une évaluation appropriée.
- L'évaluation devrait impliquer non seulement le patient et le clinicien, mais aussi, presque toujours, un partenaire de soins (par exemple, un membre de la famille ou un confident).
L'objectif est de fournir des orientations pratiques et spécifiques aux États-Unis qui sont pertinentes dans les environnements primaires et spécialisés. Les recommandations pourront alors orienter les praticiens de soins de santé américains dans l'évaluation de la mémoire, de la pensée, de la communication et des changements de personnalité des individus, ainsi que les symptômes d'un trouble cognitif, de la maladie d'Alzheimer ou d'une autre démence.
En quoi les bactéries intestinales et le métabolisme lipidique peuvent influencer la maladie d'Alzheimer et d'autres maladies du cerveau
Dans les rapports de recherche des dernières années, nous avons appris en quoi l'alimentation, et en particulier les habitudes alimentaires générales, peut être liée à la santé cérébrale, au déclin cognitif et peut-être même à la démence à mesure que nous vieillissons. Nous avons également observé l'inflammation et ses marqueurs, dans le cerveau et d'autres parties du corps, associés à la maladie d'Alzheimer et à d'autres démences. La science émergente a corrélé certains changements dans les bactéries intestinales avec une variété de conditions inflammatoires et auto-immunes. Et des études ont montré que des changements du régime alimentaire peuvent modifier les bactéries intestinales.
Quatre nouvelles études présentées lors de l'AAIC 2018 ont examiné de quelle manière le système digestif, et notamment les fonctions intestinales et hépatiques, peut être lié à des changements dans le cerveau et à des troubles cérébraux tels que la maladie d'Alzheimer et d'autres démences.
« Bien qu'elle n'en soit encore qu'à ses balbutiements, la recherche sur le microbiome intestinal est très passionnante puisqu'elle pourrait nous donner une vue nouvelle sur les raisons pour lesquelles l'alimentation et la nutrition sont si importantes pour la santé du cerveau », a déclaré Mme Carrillo. « Ce travail pourrait nous en dire plus sur la façon dont et pourquoi les "bons gras" aident à garder le cerveau en bonne santé et pourrait nous aider à conseiller des choix alimentaires sains pour le cerveau. »
« En outre, s'il s'avère que ces bactéries intestinales sont des marqueurs efficaces et précis de la maladie d'Alzheimer, elles pourraient être utiles comme outil de dépistage non invasif : il suffirait d'un simple test sanguin », a ajouté Mme Carrillo. « Cependant, nous n'en sommes qu'à la première étape. Nous ne savons pas encore exactement ce que signifient les changements observés, s'il s'agit d'une cause ou d'un effet. »
Stratégie nationale de recrutement et de participation aux essais cliniques sur la maladie d'Alzheimer
Lors de l'AAIC 2018, des représentants du National Institute on Aging (NIA) des National Institutes of Health (NIH), avec l'aide de l'Alzheimer's Association, ont rapporté des avancées de la Stratégie nationale de recrutement et de participation à la recherche clinique sur la maladie d'Alzheimer (National Strategy for Recruitment and Participation in Alzheimer's Disease Clinical Research), un effort organisé pour tracer le contour des approches pratiques et proactives permettant d'aider les sites d'étude et les chercheurs à recruter et à retenir des bénévoles pour les études de recherche sur la maladie d'Alzheimer. Au niveau local, deux programmes de recrutement à des fins de recherche sur la maladie d'Alzheimer travaillant dans des communautés afro-américaines ont fait état d'efforts et de méthodes fructueux lors de l'AAIC 2018, et notamment l'inscription à TrialMatch® de l'Alzheimer's Association.
L'Alzheimer's Association International Conference® (AAIC®)
L'Alzheimer's Association International Conference (AAIC) est le plus grand rassemblement de chercheurs au monde consacré à la maladie d'Alzheimer et à d'autres formes de démence. S'inscrivant dans le cadre du programme de recherche de l'Alzheimer's Association, l'AAIC sert de catalyseur pour générer de nouvelles connaissances sur la démence et pour promouvoir une communauté de recherche vitale et collégiale.
Page d'accueil de l'AAIC 2018 : alz.org/aaic
Salle de presse de l'AAIC 2018 : alz.org/aaic/press
À propos de l'Alzheimer's Association®
L'Alzheimer's Association est la plus grande organisation de santé bénévole dans le domaine des soins, de la prise en charge et de la recherche sur la maladie d'Alzheimer. Notre mission est d'éliminer la maladie d'Alzheimer en faisant avancer la recherche, de fournir et d'améliorer les soins et la prise en charge de toutes les personnes concernées, et de réduire le risque de démence en promouvant la santé du cerveau. Notre vision est un monde sans la maladie d'Alzheimer. Visitez alz.org ou appelez le 800.272.3900.
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