WorldReligionNews - Le paradoxe du sécularisme agressif : la séparation entre religion et vie publique politise l'Église
SANTA MONICA, Californie, December 1, 2017 /PRNewswire/ --
Michael Wakelin de WorldReligionNews.com aborde en profondeur le sujet délicat des interactions entre l'État et l'Église, le séculaire et l'ecclésiaste, à la fois dans le monde moderne et d'un point de vue historique.
(Photo: http://mma.prnewswire.com/media/614080/WorldReligionNews_Church_and_State.jpg )
Pour lire l'intégralité de l'article, publié le 30 novembre, cliquez ici : http://www.worldreligionnews.com/religion-news/paradox-aggressive-secularism-exclusion-religion-public-life-politicizes-church
L'auteur se demande si le divorce entre l'État et l'Église, qui se voulait, à l'origine, être une réponse appropriée au cléricalisme comme au dictat politique dans la sphère religieuse, en « valait la peine » si l'ambiguïté qui en résulte « a amené des organismes religieux à aller à l'encontre de leurs propres dogmes ou à collaborer avec de violents régimes athées et même des services spéciaux étrangers ». À titre d'exemple, l'auteur prend l'histoire de l'engagement, voire même de la collaboration, du Patriarcat œcuménique avec le jeune régime soviétique des années 20, et ses conséquences désastreuses sur la dignité et la santé spirituelle de l'Église orthodoxe en général.
Des exemples historiques et l'évaluation minutieuse de l'état moderne des affaires religieuses confirment la « nécessité urgente d'un dialogue entre les autorités ecclésiastes et séculaires », indique l'auteur. La « séparation entre l'Église et l'État <…> devrait principalement s'accomplir dans les esprits des responsables officiels et des ecclésiastiques. Cela nous amène alors à nous demander si l'idée même du Sacré ne devrait pas être visiblement représentée dans notre débat public, au lieu d'en être effacée », conclut l'article.
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