PGNiG : les Polonais optent pour la diversification de l'approvisionnement en gaz et soutiennent le projet Baltic Pipe
VARSOVIE, Pologne, February 28, 2018 /PRNewswire/ --
Une enquête récente met en évidence un vaste soutien en faveur de l'importation de gaz naturel de Norvège et un désir de ne plus dépendre du fournisseur dominant actuel.
Les résultats du sondage intitulé « Sécurité énergétique de la Pologne 2017 - marché du gaz naturel » montrent que la majorité des personnes interrogées pensent que la Pologne devrait importer du gaz naturel venant de divers pays et sources afin de ne plus dépendre du fournisseur russe.
(Photo: https://mma.prnewswire.com/media/647136/Energy_Security_Poland.jpg )
Les résultats de l'enquête prouvent que la société polonaise est très consciente des problèmes liés à la sécurité énergétique. Pas moins de 93 % des personnes interrogées admettent que la Pologne devrait importer du gaz naturel auprès de sources variées afin d'assurer sa sécurité énergétique.
À l'heure actuelle, environ 70 % du gaz naturel importé en Pologne provient de Russie, ce qui défavorise le pays, d'après la majorité des répondants (75 %). Cela explique leur vif soutien en faveur de la construction du gazoduc Baltic Pipe, qui vise à transporter du gaz produit en Norvège jusqu'en Pologne. 90 % des personnes interrogées pensent que ce projet améliorerait la sécurité énergétique du pays.
Le soutien en faveur de la coopération avec la Norvège en matière d'importation de gaz naturel a augmenté de 21 % comparativement à une enquête similaire menée par CBOS en 2001. En outre, parmi les personnes interrogées, 87 % pensent que la diversification des marchés d'importation de gaz affecterait positivement les prix des matières premières, tandis que 86 % considèrent que la Pologne devrait généralement chercher des solutions lui permettant de limiter ses importations de gaz naturel auprès de la Russie.
Détails de l'enquête
L'enquête « Sécurité énergétique de la Pologne 2017 - marché du gaz naturel » a été menée par GfK Polonia en décembre 2017 sur un échantillon national de 1 000 Polonais âgés de 18 ans et plus, en utilisant la méthode CATI.
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