Les données d'ATHENA présentées à l'occasion de la conférence internationale sur le papillomarivus confirment l'utilisation du test VPH cobas® de Roche pour le dépistage de première intention du cancer du col de l'utérus
BERLIN, September 19, 2011 /PRNewswire/ --
- Les données montrent que le test VPH cobas ®, grâce à ses options de génotypage individuel du VPH 16 et du VPH 18, fournit une stratification supplémentaire du risque pour les femmes VPH positives présentant un risque élevé
- Une étude séparée, effectuée, par des experts hollandais du VPH valide le recours au test VPH cobas pour le dépistage de première intention en utilisant sa capacité à détecter les types de VPH 14 à risque élevé
Roche (SIX:RO, ROG; OTCQX: RHHBY) a aujourd'hui présenté ses données d'une sous-analyse de l'étude décisive ATHENA (Addressing THE Need for Advanced HPV Diagnostics) démontrant que les test d'ADN du VPH, y compris le test VPH cobas de Roche, pouvaient être utilisés pour le dépistage de première intention du cancer du col de l'utérus. Les données qui ont récemment été publiées en ligne par The Lancet Oncology, ont été présentées dans le cadre de la 27e conférence internationale annuelle sur le Papillomavirus (International Papillomavirus Conference (IPV)).
Les données d'ATHENA montrent que l'identification des femmes avec le VPH 16 et/ou 18, les deux génotypes détectés dans environ 70 % des cancers du col de l'utérus, permet de fournir d'importantes informations servant à déterminer le risque de maladie du col de l'utérus chez une femme.
Les directives actuelles en matière de dépistage du col de l'utérus prévoient soit une cytologie (test Pap), soit une cytologie et un test d'ADN du VPH pour déterminer le risque de cancer du col de l'utérus. Cependant, les données ont montré que le test d'ADN du VPH en tant que dépistage de première intention permettait d'identifier le cancer du col de l'utérus avec taux plus élevés que la seule cytologie. Ces résultats indiquent que le test du VPH avec une détection séparée du VPH 16 et du VPH 18 est susceptible de représenter une stratégie affinée et plus efficace de dépistage du cancer du col de l'utérus que les méthodes basées simplement sur la cytologie.
« L'étude ATHENA continue de fournir beaucoup de données permettant d'affiner et de faire progresser le dépistage du VPH », estime Mark H. Stoler, MD, professeur et directeur associé des services de pathologie chirurgicale et de cytopathologie University of Virginia Health System. « Ces nouvelles données semblent indiquer que le test du VPH est un outil efficace, fiable et potentiellement économique, de dépistage de première intention. En outre, l'utilisation des informations de génotypage fournies par le test VPH cobas ou par le test réflexe de dépistage cytologique offrirait une approche rationnelle pour déterminer quelle femme VPH positive a besoin d'un suivi immédiat. »
Le test VPH cobas est un des seuls tests de dépistage disponible à l'échelle mondiale qui identifie individuellement les génotypes 16 et 18 tout en détectant simultanément 12 autres génotypes VPH à risque élevé.
Validation du test VPH cobas en tant que dépistage de première intention aux Pays-Bas
Dans une étude séparée publiée en ligne par le Journal of Clinical Microbiology, une équipe d'experts hollandais dirigée par Danielle Heideman, PhD, a validé cliniquement cobas en tant que test à résultats groupés du VPH, pour le dépistage en première intention du cancer du col de l'utérus. Les Pays-Bas sont le premier pays de l'Union européenne à annoncer l'utilisation du test VPH en guise de dépistage de première intention du cancer du col de l'utérus.
À propos de l'essai clinique ATHENA de Roche
L'étude ATHENA de Roche du test VPH cobas est la plus importante étude d'homologation américaine consacrée au dépistage du cancer du col de l'utérus et incluant plus de 47 000 femmes. L'étude est conçue pour répondre aux questions médicales et scientifiques actuelles concernant l'importance du test des génotypes de VPH à risque élevé dans le dépistage du cancer du col de l'utérus. L'étude doit aussi fournir des informations cliniques concernant les génotypes spécifiques du VPH qui représentent le risque le plus élevé de cancer du col de l'utérus pour les femmes. Les résultats ont montré que le test VPH cobas est comparable à la norme actuelle de test. Les résultats montrent aussi qu'une femme sur 10, de 30 ans ou plus, ayant testé positif pour le VPH 16 et/ou VPH 18 avec le test VPH cobas, présentait un cancer préliminaire du col de l'utérus même si son test PAP était normal.
À propos du test VPH cobas
Le test VPH cobas de Roche détecte simultanément 12 types de VPH à risque élevé (types VPH 31, 33, 35, 39, 45, 51, 52, 56, 58, 59, 66 et 68) en résultats groupés, ainsi que les génotypes VPH 16 et 18 individuellement. Roche a obtenu l'homologation de FDA pour le test VPH cobas en avril 2011 et a commercialisé ce test dans les pays acceptant la marque CE en 2009.
À propos du papillomavirus humain et du cancer du col de l'utérus
Une infection persistante au papillomavirus humain est la cause principale du cancer du col de l'utérus chez les femmes. En effet, le VPH est impliqué dans plus de 99 % des cas de cancer du col de l'utérus à l'échelle mondiale. Il existe plus de 118 types de VPH différents et on considère actuellement que 13 à 16 d'entre eux présentent un risque élevé de développement du cancer du col de l'utérus et de ses lésions initiales. Les types de VPH 16 et 18 ont été identifiés comme les génotypes présentant le risque le plus élevé et sont détectés dans environ 70 % des cancers du col de l'utérus. L'analyse des acides nucléiques (ADN) est une méthode sensible et non invasive permettant de déterminer la présence d'une infection au VPH.
L'Organisation mondiale de la Santé estime à 470 000 le nombre de nouveaux cas de cancer du col de l'utérus par an.
À propos de Roche
Roche, dont le siège est à Bâle, en Suisse, figure parmi les leaders de l'industrie pharmaceutique et diagnostique axés sur la recherche. Numéro un mondial de la biotechnologie, Roche produit des médicaments cliniquement différenciés pour le traitement du cancer, des maladies virales et inflammatoires ainsi que des maladies du métabolisme et du système nerveux central. Roche est aussi le leader mondial du diagnostic in vitro ainsi que du diagnostic histologique du cancer, et une entreprise pionnière dans la gestion du diabète. Sa stratégie des soins personnalisés vise à mettre à disposition des médicaments et des outils diagnostiques permettant d'améliorer de façon tangible la santé ainsi que la qualité et la durée de vie des patients. En 2010, Roche, qui comptait plus de 80 000 employés dans le monde, a consacré à la R&D plus de 9 milliards de francs suisses. Son chiffre d'affaires s'est élevé à 47,5 milliards de francs suisses. Genentech, États-Unis, est un membre en propriété exclusive du groupe Roche. Roche est un partenaire majoritaire dans Chugai Pharmaceutical, Japon. Pour plus de renseignements : http://www.roche.com.
Toutes les marques commerciales utilisées ou mentionnés dans ce communiqué sont protégées par la loi.
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