L'enquête trimestrielle nationale sur le logement de Fannie Mae constate que la perte d'emploi est une préoccupation pour 26 pour cent des travailleurs américains
WASHINGTON, August 15, 2011 /PRNewswire/ --
- La plupart des locataires individuels continueront à louer plutôt que d'acheter leur prochainlogement
- Trente et un pour cent des emprunteurs hypothécaires ne s'en sortent plus
Fannie Mae (OTC Bulletin Board : FNMA) La dernière enquête nationale trimestrielle de Fannie Mae sur le logement (NHS) constate que le pessimisme croissant des consommateurs évolue au rythme de leurs craintes de perte d'emploi, avec 64 pour cent des Américains interrogés au cours du deuxième trimestre disant que l'économie est sur la mauvaise voie, le taux le plus élevé par trimestre depuis le début de l'enquête au premier trimestre 2010. Ce pessimisme continue d'augmenter en juillet, avec l'enquête mensuelle de Fannie Mae constatant que 70 pour cent croient maintenant que l'économie est sur la mauvaise voie, et seulement 23 pour cent répondant que l'économie va dans la bonne direction.
« Les consommateurs sont plus prudents en raison de préoccupations concernant l'emploi et les finances du ménage », a déclaré Doug Duncan, vice-président et économiste en chef de Fannie Mae. « En conséquence, les dépenses de consommation, qui représentent environ 70 pour cent de l'économie, sont au point mort au deuxième trimestre. Les consommateurs sont plus hésitants à prendre des engagements financiers supplémentaires, et une baisse de la confiance signifie un moindre rétablissement du marché du logement. »
Points majeurs du sondage
Sécurité de l'emploi
- Vingt-six pour cent des travailleurs américains se disent inquiets de perdre leur emploi dans les douze prochains mois. Alors que 44 pour cent des travailleurs américains concernés déclarent avoir un prêt logement (contre 42 pour cent de tous les Américains), seulement 33 pour cent d'entre eux considèrent leur épargne suffisante (contre 49 pour cent de ces travailleurs qui ne se soucient pas de perdre leur emploi).
- Quarante-quatre pour cent de ces travailleurs disent que leurs dépenses de ménage ont augmenté considérablement au cours de la dernière année, comparativement à 35 pour cent des travailleurs qui ne se soucient pas de perdre leur emploi.
- Les Américains employés préoccupés par la perte d'emploi sont plus susceptibles que tous les Américains qui travaillent de dire que le moment est mal choisi pour acheter une maison et ils sont plus susceptibles de dire qu'ils loueraient leur prochaine maison.
Locataires individuels
- Plus de cinquante pour cent des locataires déclarent vivre dans des maisons individuelles.
- Malgré tout, seuls 23 pour cent des locataires individuels disent que la location est plus logique que l'achat d'une maison, 53 pour cent disent qu'ils continueraient de louer s'ils devaient déménager.
- Soixante-trois pour cent des locataires individuels disent qu'il serait difficile pour eux d'obtenir un prêt hypothécaire résidentiel, avec 33 pour cent citant leurs antécédents de crédit comme le plus grand obstacle à l'obtention d'un prêt logement (contre 20 pour cent des locataires en logement collectif).
- Comparativement aux locataires en logement collectif, les locataires individuels sont plus jeunes et plus susceptibles d'avoir des enfants.
Les emprunteurs hypothécaires minoritaires
- Trente et un pour cent des emprunteurs hypothécaires rapportent avoir du mal à s'en sortir, comparativement à 23 pour cent des emprunteurs hypothécaires non minoritaires.
- Trente cinq pour cent des emprunteurs minoritaires disent qu'ils font beaucoup de sacrifices financiers pour être propriétaires, contre 20 pour cent des emprunteurs non minoritaires.
- Les emprunteurs minoritaires sont plus susceptibles que les détenteurs d'hypothèques non minoritaires de vivre dans des états avec des niveaux supérieurs à la moyenne de capitaux propres négatifs et sont plus susceptibles de déclarer des revenus familiaux inférieurs (44 pour cent disent que leur revenu familial en 2010 ne dépassait pas 50 000 $, comparativement à 23 pour cent des non-emprunteurs minoritaires).
L'enquête nationale sur le logement du deuxième trimestre 2011 de Fannie Mae a demandé aux propriétaires et locataires d'évaluer leurs attitudes envers la propriété et la location d'une maison, la confiance en l'accession à la propriété comme un investissement, l'état actuel des finances de leur ménage, les opinions sur le système américain de financement du logement et, globalement, leur confiance dans l'économie.
Duncan déclare : «Les données de l'enquête montrent clairement la relation entre la demande d'achat d'un logement et les préoccupations concernant la stabilité de l'emploi. L'insatisfaction quant à la direction que prend l'économie et les craintes liées à l'emploi qui vont de pair freinent la demande d'achat d'un logements et la reprise. Les gens qui croient qu'être propriétaire est plus avantageux que la location ont néanmoins l'intention de louer, au moins jusqu'à ce que les choses s'améliorent, on dirait. »
Autres points majeurs du sondage
- Conformément aux résultats précédents, la plupart des Américains pensent que ce serait difficile pour eux d'obtenir un prêt hypothécaire aujourd'hui (53 pour cent) et augmente à 71 pour cent chez les locataires.
- Alors que 51 pour cent des Américains de la Generation X (35-44 ans) disent qu'il serait difficile pour eux d'obtenir un prêt hypothécaire aujourd'hui, le nombre augmente à 59 pour cent parmi la Generation Y (18-34 ans).
- Trente cinq pour cent des pré-baby-boomers (65 ans et plus) disent qu'ils connaissent quelqu'un dans leur région ou quartier qui ne peut plus rembourser son prêt contre 42 pour cent pour la Generation Y et 49 pour cent pour les Américains de la Generation X.
- Vingt-six pour cent des emprunteurs hypothécaires disent qu'ils ne s'en sortent plus, contre 23 pour cent au 1er trimestre.
- Les emprunteurs qui ne s'en sortent plus restent plus susceptibles d'être stressés par leur dette que tous les emprunteurs hypothécaires : 42 pour cent des emprunteurs qui ne s'en sortent plus disent qu'ils sont stressés au sujet de leur dette, comparativement à 31 pour cent de tous les emprunteurs hypothécaires.
- Les emprunteurs qui ne s'en sortent plus sont plus susceptibles de connaître quelqu'un qui n'arrive plus à rembourser son prêt hypothécaire : 57 pour cent des emprunteurs qui ne s'en sortent plus contre 49 pour cent de tous les emprunteurs hypothécaires et 43 pour cent de la population générale.
- Comme lors des trimestres précédents, 2 sur 3 répondants sont favorables à des modifications hypothécaires, car ils croient que ces programmes contribuent à protéger l'économie et les collectivités locales de saisies et de la chute des prix de l'immobilier.
- Comme aux trimestres précédents, 57 pour cent d'Américains de la Generation Y (18-34 ans) s'attendent à ce que leur situation personnelle s'améliore au cours de la prochaine année, comparativement à seulement 42 pour cent de la Generation X (35-44 ans) et 35 pour cent des baby-boomers (âge 45-64).
Pour des résultats plus détaillés, cliquez ici.
Méthodologie du sondage
Du 4 avril 2011 au 28 juin 2011, 3 002 interviews téléphoniques ont été menées avec des Américains de 18 ans ou plus pour déterminer leur confiance en la propriété comme investissement, l'état actuel des finances des ménages, leur point de vue sur le système de financement du logement aux Etats-Unis, et leur confiance globale en l'économie.
Ceci comprenait un échantillon aléatoire de 3 002 membres de la population générale, dont 750 propriétaires, 1 261 emprunteurs hypothécaires, et 841 locataires. Sur les 1 261 emprunteurs hypothécaires, 324 se sont identifiés comme des emprunteurs qui ne s'en sortent plus (ceux qui déclarent devoir au moins 5 pour cent de plus sur leur prêt hypothécaire que la valeur de leur logement). La marge d'erreur globale pour l'échantillon de population générale est de + / - 1,79 pour cent et davantage pour les sous-groupes.
Les interviews ont été menées par Penn Schoen Berland, en coordination avec Fannie Mae.
Fannie Mae existe pour développer les logements abordables et pour apporter des capitaux mondiaux aux communautés locales afin de servir le marché du logement américain. Fannie Mae a une charte fédérale et évolue sur le marché hypothécaire secondaire américain pour améliorer les liquidités du marché hypothécaire en fournissant des fonds aux instituts de crédit foncier et autres prêteurs pour qu'ils puissent prêter aux acquéreurs de logement. Notre travail consiste à aider ceux qui logent l'Amérique.
Suivez nous sur Twitter: http://twitter.com/FannieMae.
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