Le sondage national sur le logement de Fannie Mae indique une petite amélioration au niveau des attitudes depuis décembre dernier, mais les dépenses toujours plus importantes des ménages pourraient devenir une inquiétude
- Bien que les perceptions par rapport à la sécurité de l'investissement soit en baisse, 57 pour cent des américains pensent qu'être propriétaire de son logement a beaucoup de potentiel au point de vue investissement, plaçant celui-ci à un plus haut niveau d'importance que d'autres d'investissements
- Se sentant moins en sécurité financièrement, près de deux fois plus d'emprunteurs hors de la monnaie pensent qu'il est acceptable de manquer son paiement pour cause de détresse financière
WASHINGTON, May 12, 2011 /PRNewswire/ -- Le dernier sondage national sur logement de Fannie Mae (OTC Bulletin Board : FNMA) indique que les américains ont exprimé un optimisme plus prudent durant le premier trimestre de 2011 par rapport au quatrième trimestre de 2010 et ils manquent toujours de confiance envers la solidité générale du marché de l'immobilier et la reprise économique. Pour son sondage national sur le logement du premier trimestre de 2011, Fannie Mae a interrogé des propriétaires et locataires de janvier à mars 2011. Les conclusions ont été comparées à des sondages similaires menés tout au long de 2010 et en décembre 2003.
Les résultats du sondage indiquent que l'optimisme de fraîche date des américains en ce qui concerne le prix des propriétés, l'économie et leurs finances personnelles contrebalancent leur inquiétude vis-à-vis de la hausse des dépenses des ménages, qui pourrait demander des américains qu'ils demeurent prudents par rapport à la reprise. Malgré la prudence des consommateurs, 57 pour cent des américains pensent toujours qu'acheter son logement offre beaucoup de potentiel au point de vue investissement - plaçant celui-ci à un plus haut niveau d'importance que d'autres d'investissements comme l'achat d'actions ou le placement de fonds dans un compte de retraite individuelle (IRA) ou 401(k).
<< Malgré des signes modérés d'amélioration sur le marché de l'immobilier et de l'économie en général, les inquiétudes persistantes à propos de la reprise et de leur propre situation financière continuent d'influencer l'attitude des consommateurs >>, indique Doug Duncan, vice-président et économiste en chef de Fannie Mae. << L'incertitude concernant le marché de l'emploi en amélioration, les prévisions d'un manque de mouvement au niveau des prix des propriétés et du taux d'intérêt, et la hausse des dépenses des ménages donnent un sentiment de sécurité financière moindre chez lez consommateurs, qui se traduit en une baisse des demandes d'hypothèques. Bien que nous ayons vu des signes d'amélioration dans l'activité économique ces dernier mois et la consolidation en particulier de l'emploi dans le secteur privé, l'attitude des consommateurs ne s'est améliorée que marginalement et dans certains secteurs pas du tout, comparé à l'année dernière. Ceci reflète une inégalité et une incertitude continue concernant cette reprise. >>
- Seulement 33 pour cent des américains indiquent qu'ils pensent que l'économie est sur le bon chemin, une hausse de 4 pour cent par rapport au quatrième trimestre de 2010, mais pratiquement inchangé depuis janvier 2010 (31 %). - Quarante-deux pour cent des participants ont indiqué prévoir une amélioration de leur finances Personnelles au cours des prochains douze mois (une hausse de 2 pour cent par rapport aux quatrième trimestre de 2010), comparé à 44 pour cent en janvier 2010. - Quarante pour cent indiquent que leurs dépenses du ménage actuelles sont considérablement plus élevées qu'il y a douze mois, une hausse par rapport aux 34 pour cents du trimestre précédent et aux 31 pour cent de janvier 2010. - Bien que le nombre d'américains percevant être propriétaire de son logement comme un investissement sûr soit en déclin (de 83 % en 2003 à 66 % au premier trimestre de 2011), 57 pour cent pensent toujours qu'être propriétaire de son logement a beaucoup de potentiel au point de vue investissement, plaçant celui-ci à un plus haut niveau d'importance que d'autres d'investissements qu'ils ont essayés. - Près de deux fois plus d'emprunteurs hors de la monnaie (27 %) qu'en janvier 2010 pensent qu'il est acceptable d'abandonner ses paiements face à une détresse financière.
Le sondage sur le logement du premier trimestre de 2011 de Fannie Mae a interrogé des propriétaires et des locataires afin d'évaluer leur attitude envers la propriété ou la location de son logement, leur confiance par rapport à la propriété en tant qu'investissement, le statut actuel des finances de leur ménage, leur opinion sur le système de financement de l'immobilier aux États-Unis et leur confiance en général dans l'économie.
Autres points saillants du sondage
Quarante-quatre pour cent des propriétaires pensent que la valeur de leur maison aujourd'hui a augmenté de 20 pour cent ou plus, un déclin des 46 pour cent en juin 2010 et des 51 pour cent en janvier 2010.
Un américain sur trois (30 %) prévoit une consolidation des prix des propriétés au cours de l'année, soit une hausse de quatre pour cent depuis le quatrième trimestre de 2010, mais pratiquement inchangé depuis l'an dernier.
Cinquante-neuf pour cent de la génération Y américaine (entre 18 et 34 ans) prévoient que leur situation financière s'améliorera au cours des prochains douze mois, comparé à 49 pour cent parmi la génération X (entre 35 et 44 ans) et 37 pour cent parmi les baby boomers (entre 45 et 64 ans).
Un moins grand nombre d'africains-américains pense que l'économie est sur le bon chemin (44 % au premier trimestre de 2011 versus 51 % au trimestre dernier) et ils sont moins optimistes envers leurs finances personnelles (61 % prévoient une amélioration de leurs finances au cours des prochains douze mois comparé à 67 % au quatrième trimestre de 2010).
Seulement 13 pour cent de la génération précédant les baby boomers (les plus de 65 ans) pensent qu'il sera plus facile pour les prochaines générations que pour eux d'acheter une maison, comparé à 28 pour cent des américains de la génération Y.
Près d'un sur quatre (23 %) des emprunteurs hypothécaires indiquent être hors de la monnaie, comparé à 30 % en janvier 2010.
Seulement 31 pour cent des emprunteurs hors de la monnaie pensent qu'ils ont assez d'épargne (comparé à 42 % en juin 2010 et 43 % chez les emprunteurs hypothécaires en général).
Quarante-six pour cent des emprunteurs hors de la monnaie indiquent être stressés par rapport à leur capacité de repayer leur dette (comparé à 35 % en juin 2010 et à 33 % chez les emprunteurs hypothécaires en général).
Pour plus de détails sur les conclusions du sondage, cliquez ici : http://www.fanniemae.com/media/survey/index.jhtml.
Méthodologie du sondage
3 403 entrevues téléphoniques ont été menées entre le 4 janvier et le 29 mars 2011 parmi les américains de 18 ans et plus pour évaluer leur confiance par rapport à la propriété en tant qu'investissement, le statut actuel des finances de leur ménage, leur opinion sur le système de financement de l'immobilier aux États-Unis et leur confiance en général dans l'économie.
Ceci comprend un échantillon au hasard de 3 003 membres de la population en général, y compris 781 propriétaires, 1 261 emprunteurs hypothécaires et 841 locataires. Des 1 261 emprunteurs hypothécaires, 297 se sont identifiés comme emprunteurs hors de la monnaie (ceux qui ont indiqué devoir au moins 5 % de plus sur leur emprunt que vaut leur propriété). La marge d'erreur dans l'ensemble sur l'échantillon de la population générale est de plus ou moins 1,79 pour cent et elle est plus importante pour les sous-groupes.
Un échantillon supplémentaire de 400 emprunteurs défaillants choisis au hasard a été questionné. La marge d'erreur sur l'échantillon des emprunteurs défaillants est de plus ou moins 4,90 pour cent et elle est plus importante pour les sous-groupes. La défaillance est définie par le fait de ne pas avoir effectué un paiement sur le prêt hypothécaire depuis au moins 60 jours.
Les entrevues ont été réalisées par Penn Schoen Berland en collaboration avec Fannie Mae.
La façon dont ce sondage national sur le logement affectera Fannie Mae dépendra de beaucoup de facteurs.
Fannie Mae existe pour développer les logements abordables et pour apporter des capitaux mondiaux dans les communautés locales afin de servir le marché du logement américain. Fannie Mae a une charte fédérale et évolue sur le marché hypothécaire secondaire américain pour améliorer les liquidités du marché hypothécaire en fournissant des fonds aux instituts de crédit foncier et autres prêteurs pour qu'ils puissent prêter aux acquéreurs de logement. Notre mission consiste à assister ceux qui logent l'Amérique.
Suivez-nous sur Twitter : http://twitter.com/FannieMae.
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