De nouvelles enquêtes montrent que l'extensibilité et la récupération du back-up sont essentielles pour l'adoption de la virtualisation. Alors quelle est la raison des hésitations ?
LONDRES, June 23, 2011 /PRNewswire/ --
Une enquête réalisée par Symantec auprès de 3700 directeurs informatiques dans 35 pays, intitulée « Virtualisation et évolution vers l'informatique en nuage » a révélé des points essentiels sur ce que les entreprises attendent de l'implémentation d'une stratégie virtuelle. Alors que de nombreux résultats ont été obtenus, quelques conclusions spécifiques ont également montré que deux tiers des entreprises classaient la dégradation des performances comme un facteur plutôt/extrêmement important de leur hésitation à mettre des applications critiques pour les affaires dans un nuage privé.
Un extrait du livre blanc de Symantec indiquait que la performance pouvait être un facteur qui soit mène à la virtualisation, soit l'entrave. Alors que la virtualisation/l'informatique en nuage peut contribuer à dynamiser les opérations et à économiser de l'argent, sacrifier les performances n'est pas une possibilité. Tous les gains obtenus dans d'autres domaines seront réduits à néant si les clients et les employés sont incapables de travailler dans le cadre d'un environnement rapide et sûr qui fournit un temps de fonctionnement maximum. Parmi les organisations qui ont mis en application la virtualisation du stockage, 84 % des personnes interrogées ont indiqué que l'un de leurs objectifs pour le faire était d'améliorer la rapidité ou les performances du stockage. Par contre, deux tiers des entreprises classent la dégradation des performances comme étant un facteur plutôt/extrêmement important de leur hésitation à mettre des applications critiques pour les affaires dans un nuage privé.
Une question clé de l'enquête concernait l'importance des buts suivants au moment d'implémenter la virtualisation des serveurs - en voici les résultats :
- 88 % ont déclaré qu'il était plutôt/très important d'améliorer l'extensibilité de leurs serveurs
- 87 % ont déclaré qu'il était plutôt/très important de réduire leurs dépenses
- 85 % ont déclaré qu'il était plutôt/très important d'améliorer le temps de fonctionnement et la disponibilité
- 83 % ont déclaré qu'il était plutôt/très important d'améliorer la possibilité de récupération
- 83 % ont déclaré qu'il était plutôt/très important d'améliorer la vitesse de leurs serveurs
L'hésitation face à l'implémentation complète d'un environnement virtuel est également fortement soulignée dans une autre enquête publiée dans un livre blanc sponsorisé par EMC et réalisée conjointement avec Computing.
- 5 % ont virtualisé 96-100% de leur infrastructure informatique
- 17 % ont virtualisé 70-95% de leur infrastructure informatique
- 16 % ont virtualisé 50-69% de leur infrastructure informatique
- 21 % ont virtualisé 30-49% de leur infrastructure informatique
- 16 % ont virtualisé 10-29% de leur infrastructure informatique
- 10 % ont virtualisé 10% de leur infrastructure informatique
- 15 % n'ont pas virtualisé du tout leur infrastructure informatique
Les statistiques ci-dessous montrent que les entreprises ne passent que progressivement à un environnement virtuel, et qu'en le faisant, elles espèrent réduire leurs dépenses, améliorer l'extensibilité, améliorer les performances et augmenter la préparation à la reprise après un sinistre informatique.
Mandeep Birdi, consultant technique en pré-ventes chez Diskeeper Corporation Europe, a déclaré : « Grâce à ces statistiques, nous savons que dans une certaine mesure, la virtualisation fait maintenant tout à fait partie de nombreuses organisations, mais que bien qu'ils implémentent la virtualisation de serveur, les directeurs informatiques doivent également envisager et réfléchir aux moyens de garantir une performance optimale dans leur infrastructure virtuelle. Un problème majeur inhérent aux infrastructures virtuelles est le fait que les machines virtuelles basées sur Windows peuvent générer des I/O supplémentaires à cause de la fragmentation. Cela a malheureusement pour conséquence des baisses importantes de performances sur l'ordinateur-serveur dues à ces I/O inutiles et cela peut impacter la réussite des migrations. Notre solution logicielle , optimiseur de disque de plateforme virtuelle V-locity®, a été spécialement développée pour résoudre ce problème. »
à propos de Diskeeper Corporation - Partenaire Or de Microsoft
Innovators in Performance and Reliability Technologies®: les responsables des technologies de l'information, les directeurs informatiques et les administrateurs de systèmes des entreprises figurant au palmarès de Global Fortunes 1000 et Forbes 500 comptent sur le logiciel de performance Diskeeper® pour obtenir des performances inégalées et fiables sur leurs ordinateurs professionnels portables, leurs ordinateurs de bureau et leurs serveurs. Diskeeper 2011 comprend la technologie révolutionnaire de prévention de la fragmentation IntelliWrite® . L'optimiseur de disque de plateforme virtuelle V-locity® pour VMware ESX et Hyper-V elimine les obstacles s'opposant à l'entière efficacité virtuelle et aux performance d'I/O maximales sur les serveurs virtuels. Diskeeper Corporation assure également la protection des données et la récupération des données en temps réel avec le logiciel de récupération des données Undelete® (http://www.undelete.com). La technologie InvisiTasking® permet à tous les processus de fonctionner de façon totalement invisible en arrière-plan, en se servant de la puissance des ressources inactives autrement non utilisées (http://www.invisitasking.com).
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